Elles ont demandé l’aide du FFMed pour leurs frais de fonctionnement de l'association, fléchés vers :
- la prise en charge juridique des femmes victimes de violence (honoraires des avocates, timbres fiscaux pour les tribunaux, huissiers de justices, actes notariés, etc.) ;
- la prise en charge judicaire des femmes victimes de violence sur les quatre centres gérés par l’ATFD (car non application de la loi supposée les protéger, et non accès à l'aide légale pour les femmes en situation de précarité), permettant d'orienter, conseiller la victime, et prendre en charge le dossier judiciaire pour la représenter devant le tribunal ;
- les frais de fonctionnement des quatre centres d'écoute (moyens de subsistance et d'existence pour les locaux qui accueillent les centres : loyers, électricité, téléphone, fournitures de bureau, ménage, etc) ;
- une aide sociale pour les femmes victimes de violence (hébergement d’urgence à l'hôtel, achat de médicaments et de produits alimentaires et d’hygiène, frais de transport pour tout ce qui est relatif à l'obtention de la défense des droits des victimes).