Au cours des dernières années, le groupe d'activistes à la tête du Coalition of Women for Peace (CWP) a subi les effets à long terme de la répression et de l'épuisement dirigé par le gouvernement.
Ne voulant pas continuer uniquement pour le plaisir de faire, les militants demandent de mettre fin à la construction juridique organisationnelle.
Cette situation est d’autant plus difficile que l’organisation s’est retrouvée à devoir gérer, à la fois, les déficits en ressources des années précédentes, mais aussi une recherche de fonds particulièrement impactée par la crise de Covid-19.